Départ en car pour Saïgon, ultime étape de notre périple. Cinq heures de voyage cahin caha . Très long.
Saïgon est une grosse agglomération avec ses embouteillages de mobylettes et de voitures, des taxis principalement.
Nous remarquons que les filles sont plus coquettes et moins emmitouflées.
C'est une ville très moderne à l'opposé de Hanoï qui paraît avoir 50 ans de retard.
marché Ben Thanh
Hôtel de Ville de Saigon
Place de l'opéra
Ballade du côté de l'ex rue Catinat (maintenant Đồng Khởi) , j'ai une pensée émue pour papa.
Restaurant flottant , une réplique de celui de 1965 qui a subi un attentat visant des américains pendant la guerre .
Dimanche 20 mai
Dimanche 20 mai
Nous décidons de partir en pèlerinage sur les traces de nos parents et de l'enfance de Christian.
Nous demandons à un taxi de retrouver en banlieue de Saïgon la rue où vivait le grand père paternel de Christian.
Tout ce que nous savons est que la maison réquisitionnée est devenue une école après avoir été un orphelinat.
Les parents de Christian l'ont retrouvée il y a quelques années et nous avons avec nous la photo où ils posent devant le portail.
Le taxi nous dépose dans un quartier très pauvre proche de Cholon.
Nous nous retrouvons dépités devant la grille fermée : c'est dimanche, il n'y a pas école. J'avais apporté des crayons de couleur pour les petits....
À midi nous nous arrêtons pour manger et je donne des crayons à une petite fille très contente qui les garde contre elle en souriant.
Nous demandons à un taxi de retrouver en banlieue de Saïgon la rue où vivait le grand père paternel de Christian.
Tout ce que nous savons est que la maison réquisitionnée est devenue une école après avoir été un orphelinat.
Les parents de Christian l'ont retrouvée il y a quelques années et nous avons avec nous la photo où ils posent devant le portail.
Le taxi nous dépose dans un quartier très pauvre proche de Cholon.
Nous nous retrouvons dépités devant la grille fermée : c'est dimanche, il n'y a pas école. J'avais apporté des crayons de couleur pour les petits....
À midi nous nous arrêtons pour manger et je donne des crayons à une petite fille très contente qui les garde contre elle en souriant.
Nous retournons dans l'ancien quartier français de la cité Larégnère où Christian et sa famille ont vécu.
Impossible de retrouver les bâtiments. En lieu et place se dresse un immeuble moderne.
Un gardien qui prenait le frais sous un arbre nous informe que la cité à été détruite et remplacée il y a 4 ans par cet ensemble.
Christian est déçu mais retrouve malgré tout des souvenirs.
A quelques centaines de mètre plus loin , au carrefour à droite , on retrouve l'école primaire Saint Exupéry (rue Ngo thoi nhiêm ) où séjournait Christian .
Nous recherchons d'abord l'école Marie Curie où allaient ses soeurs. Nous prenons une photo devant l'entrée pour montrer à Yvonne.
Puis nous nous rendons a l'ancien lycée Chasseloup-Laubat devenu Jean-Jacques Rousseau et depuis 1975, Lê Quy Dong.
Le lycée de mon père, de mes oncles et plus tard celui de Christian dans les années 60 .
Un lieu chargé d'histoire familiale...
C'est la sortie des classes, les jeunes se dispersent à pied ou en mobylette .
Je profite que la grille soit ouverte pour aller filmer l'intérieur qui semble figé dans le temps.
Les salles de classe aux volets de bois ouvertes sur une cour intérieure. Un professeur en tunique qui efface un grand tableau me sourit.
Je me laisse enfermer et dois trouver le gardien pour qu'il m'ouvre! Mais je ne regrette pas....j'ai voyagé !
à gauche , la cité Larégnère rue Doan Thi Diêm , dans les années 60
107 rue Truong Dinh ( anciennement Doan Thi Diêm )
Un gardien qui prenait le frais sous un arbre nous informe que la cité à été détruite et remplacée il y a 4 ans par cet ensemble.
Christian est déçu mais retrouve malgré tout des souvenirs.
A quelques centaines de mètre plus loin , au carrefour à droite , on retrouve l'école primaire Saint Exupéry (rue Ngo thoi nhiêm ) où séjournait Christian .
Puis nous nous rendons a l'ancien lycée Chasseloup-Laubat devenu Jean-Jacques Rousseau et depuis 1975, Lê Quy Dong.
Le lycée de mon père, de mes oncles et plus tard celui de Christian dans les années 60 .
Un lieu chargé d'histoire familiale...
C'est la sortie des classes, les jeunes se dispersent à pied ou en mobylette .
Je profite que la grille soit ouverte pour aller filmer l'intérieur qui semble figé dans le temps.
Les salles de classe aux volets de bois ouvertes sur une cour intérieure. Un professeur en tunique qui efface un grand tableau me sourit.
Je me laisse enfermer et dois trouver le gardien pour qu'il m'ouvre! Mais je ne regrette pas....j'ai voyagé !
Nous nous rendons tout près au cercle sportif dont parlait tant papa. Il semblait l'avoir écumé toute sa jeunesse.
Je pense à lui avec émotion en pénétrant dans ce lieu témoin de l'époque coloniale.
Une élite vietnamienne a remplacé les français de l'époque. C''est un lieu consacré au sport, piscine, terrain de tennis et autres sports plus asiatiques mais les structures sont peu entretenues.
Nous partons en quête de la rue Richaud devenu "Nguyen Dinh Chiêu" où habitaient mes grands parents et leurs 9 enfants.
Je pense à lui avec émotion en pénétrant dans ce lieu témoin de l'époque coloniale.
Une élite vietnamienne a remplacé les français de l'époque. C''est un lieu consacré au sport, piscine, terrain de tennis et autres sports plus asiatiques mais les structures sont peu entretenues.
Nous partons en quête de la rue Richaud devenu "Nguyen Dinh Chiêu" où habitaient mes grands parents et leurs 9 enfants.
Dope ne nous a pas donne trop de détails. Nous répérons une maison au numéro 87 qui pourrait correspondre.
Nous prenons des photos et filmons pour demander plus tard à Dope.
Nous prenons des photos et filmons pour demander plus tard à Dope.
Nous repartons ensuite dans le centre de Saïgon vers les quartiers modernes et les boutiques de luxe.
La pauvreté reste cantonnée dans les quartiers périphériques.
À midi nous mangeons dans un snack près du marché où se serait rendu le president Clinton en 2000.
Nous achetons plus tard quelques souvenirs et deux billets pour le ferry qui nous mènera le lendemain au cap Saint Jacques .
La pauvreté reste cantonnée dans les quartiers périphériques.
Musée de la guerre
À midi nous mangeons dans un snack près du marché où se serait rendu le president Clinton en 2000.
Nous achetons plus tard quelques souvenirs et deux billets pour le ferry qui nous mènera le lendemain au cap Saint Jacques .
Basilique Notre Dame
La Poste Centrale